Le roi marchait dans les marais, d'un pas lent, et un peut incertains. Il pèse lourd, très lourd, et les marais profond, très profond.

Progresser dans les fanges n'est déjà pas chose facile émergé, alors immergé, il mourrait de faim. Pourquoi se trouvait-il dans les marais? On n'y pêche rien d'extraordinaire, voir rien du tout hormis des carcasses.

Le fait est que le pêcheur avait reçus commande d'un pirate des marais, un espadon. Probablement pour décorer l’intérieur. Enfin si le commanditaire voudrais le manger, il aurais de quoi faire. Car le Pierrot avait pêcher un sacré morceau. Malgré sa force il avait du mal a le tirer.

Car derrière lui trainait un gros sac en toile, visiblement bien lourd, le dessous est sanguinolent, et laisse des marques foncées sur la terre. Heureusement que le sarcophage de toiles est résistant, le nez de la bête l'aurais déjà déchirer.

Il semblerait que le scaphandrier mystique ne soit pas le seul dans ces marécages. Une fée, ces petites chose lumineuse que le roi prend pour des petit humains, pointât le bout de ses ailes vers lui, et d'un air paniquer, elle frappât contre le hublot.

Les poissons n'aiment pas les coups, le roi vibrât un peut, puis reculât doucement la fée du bout du doigts. Et tentât de faire sa voix profondes et grave, un peut plus douce.

Roi pêcheur: du calme petite humaine lumineuse, tes amies ne sont pas en moi.

Mais la fée ne se calmait pas. Elle semblait délirer. Elle parlait d'un monstre...l'autre. Un bruit horrible de succion se fit entendre derrière le roi. Ce dernier sentit une aura malveillante. Des instinct de poissons? en tout cas il laissât tomber le sac et pivotât entièrement, le casque ne pouvant de tourner, et dégainât son fusil a harpon pour pointer...la chose, ni homme ni bête qui se tenait en face de lui.

Paix? Pourquoi ce mot sonnait faux dans la bouche de cette créature? Elle disait certes venir en paix, mais tout chez cette étrange chose hurlait qu'elle était malfaisant.

Les dizaines d'yeux, même les centaines, venaient observer l'autre. En effet, tous les poissons du corps du Roi, sans exceptions, venaient se relayer au hublot. Observant de la tête aux sabots cette créature mystique. Rien ne bougeait de l’extérieur. Mais de l'interieur, le roi se faisait une image des plus précise de cette créature. Chaque poissons retenant avec exactitude une partie de l'être.

Mais la petite humaine brillant comme une étoile ne cessait de s'agiter. Débitant un nombre de chose a propos du faune effrayante.. Se cachant derrière le colosse de fer et de plombs. Le roi resserat son emprise sur son canon sous marin et donnat un coup dans l'espadon du sac de toile, le révélant.

Roi: J'ai tuer cette bête sous l'eau, la ou nos mouvements sont ralentis et entravés, et ou ses mouvements sont rapides et meurtrier. Toi qui a un corps ni d'homme ni de bouc, sur terre je te tuerais sans mal. Parle. Pourquoi cette humaine brillante comme un soleil me dit qu'elle te fuit pour sauver sa vie?

Il posât la main sur son couteau de pêche, sans le dégainer, par précaution.

(Excuse moi du retard je suis confus >< j'avais oublier le fow avec les fêtes.)

"Ce n'est pas une humaine qui vole derrière vous mais un insignifiant insecte dont j'ai l'utilité. Comme vous mon cher, je suis un chasseur. Et entre chasseur, l'on ne se vole pas les proies."

Comme le Roi n'avait pas aimer cette phrase, mais comme il ne l'avait pas aimer. Il ne fallut pas longtemps pour que chaque poissons de son corps s'agitent, heureusement que la combinaison étaient assez dure pour ne pas s'agiter de partout.

Le doigts pressât la détente, le harpons partit a une vitesse folle, mais l'Autre n'était pas visé. Elle se fichât dans la racine aux sabots du faune. Le Roi tirât un coup sec, la corde reliant le harpon au fusil sortit la flèche, et la ramenât au fusil. Les écailles du Roi ne brillaient plus de jaune, mais d'un rouge vif et colérique. La voix du roi semblait aussi plus énervée.

Roi: Sachez que je sais très bien que cette petite étoile est une fée. Et encore une phrase de travers et je pourrais devenir bien plus précis au prochain tir. Vous ne l'aurez pas tant que je serais debout. Passez votre chemin, ou venez la chercher.

Il posât son autre main sur son couteau, prêt a dégainer.