Maman elle chantonne, incantations ou simples chansons. Et Lundi, il a toujours gardé ça dans le coeur. Il adore entendre sa mère chanter, rituels ou berceuses. C'est un peu pour ça peut-être que Lundi aime que ses femmes chantent pour lui, et que ça le calme. Il retient sa colère, sa rage, à la simple voix de la Licencieuse. Tout ce qu'il fait, il l'arrêtera en un instant si elle le demande. Il est obéissant, il veut être une fierté pour elle. Histoire de compenser le temps perdu dans le réveil juste après le sommeil. Attention à ce que vous dites, à comment vous parler d'elle. Sans être fils à maman, il exige le respect envers sa mère. Il sait très bien Brigitte puissante, bien plus qu'il ne l'est. Cependant, c'est plus fort que lui. Lundi ne supporte pas entendre des mots salissants sa mère.

Samedi, c'est le grand frère. Le grand des grands. Il est très amusant, il est très puissant. Ça a tendance à nourrir Lundi d'excitation, il aime les jeux que le Fétide organise. Les combats, il aime y assister, il adore la violence et le bordel qui en découle. Il en a les papillons dans le ventre, ça calme un peu son propre côté sanguin à voir d'autres se mettre sur la gueule. Surtout des êtres faibles. En revanche, il espère bien que Samedi ne choisira pas un jour une pauvre âme qui a été ou est l'un des coups de foudre du Céleste. Il n'aimerait pas. Il suppose que son frère lui éviterait cette rage là, à moins qu'il ne veuille le chercher ?

Quoi qu'il en soit, généralement, Lundi est très bon public. Il en redemande, plus, plus violent, plus désespéré. Samedi offre ces spectacles, et le cadet offre un autre genre de distraction. Ragot et voyeurisme, le Fétide peut aisément assister à ces moments où Lundi se contente d'épier des gens via la surface d'eau stagnante. Peut-être même que le Céleste a déjà proposé à Kaplata de choisir qui espionner.

Lundi adore son aîné des barons. Mais, il s'énerve quand même. Aux jeux de cartes, il perd toujours. Il ne sait pas y jouer, et Samedi sait très bien le faire. Alors le Céleste s'énerve, mauvais perdant, un orage éclate au Bayou. Samedi a probablement encore et toujours gagné aux cartes contre son petit frère.

Le second grand frère, il est impressionnant pour Lundi. Comme Samedi l'est. C'est l'effet des grands frères peut-être. Le Calciné sait apparemment jouer bien mieux aux cartes que le Céleste d'ailleurs. Mais voilà, le cadet n'a pas la patience pour s'atteler à ça. Il est inquiété par les marques de Dimanche, sans trop savoir si c'est nécessaire ou non. De toute manière, il fait des montagne de ce qui n'est peut-être rien. Ce n'est rien, hein ? Maman saura veiller, hein ? Lundi se retient toujours d'épier ses frères, quoi qu'il arrive. Un genre de règle implicite, comme celle concernant la liberté "sans limite" de ses femmes. De plus, c'est un grand frère, il saura faire.

Lundi, il aime comme Dimanche brille. Une flamme c'est chaud, c'est flamboyant. Et Klere, il aime bien nouer contact avec ses frères, Dimanche est chaud au toucher. Le Céleste aime à poser les doigts ou une accolade à son aîné. Partager un coup d'électricité. Ce n'est pas amusant comme ça fait vibrer en une petite seconde à peine ?

C'est un vrai volcan, une énergie puissante et dévastatrice. Le Céleste admire cette facette. Il aime ce qui détruit, ce qui jaillit. Il fantasme peut-être un peu ou pas assez, il ne saurait pas le dire. Feu de la terre et feu du ciel, Lundi aime à dire qu'ils peuvent se comprendre. L'énergie débordante est parfois si cruelle. Il se demande si Dimanche aussi a besoin d'extérioriser, de détruire ou de subir pour se sentir plus calme.

Le Céleste respecte son aîné, tout comme ses autres frères. Il en est très attaché, comme tous. Comme pour tous, il pourrait entrer en colère noire ou en peur destructrice s'il venait à lui arriver quelque chose. Il faudra un coupable. Ou les voix de la famille pour calmer.

Lundi aime l'excentrique de Dimanche, son frère a bien raison. Il faut briller d'éclat ! Feu et Foudre, il faut aveugler et laisser la passion éclater.

Mardi c'est un frère qui lui est proche, tous deux tactiles, Lundi peut se permettre de se coller à son cadet. Ils jouent avec la petite décharge électrique qu'ils ressentent à chaque contact. Lundi s'invite chez Janblan, et inversement. Il entre parfois en panique lorsqu'il ne trouve pas la Toile chez elle, il y fera donc les cent pas, grognant, rageant, résistant à l'envie de chercher avec les yeux du ciel où se trouve Mardi.

Ils parlent jusqu'à tard -quoi que cela veuille dire- ou s'endorment rhum à la main. Ils se rejoignent très souvent, même lorsque chacun a passé le sommeil chez soi. Le Céleste découvre régulièrement son cadet venir lui porter compagnie, alors que le sommeil se disperse doucement et que ses femmes sont en train de coiffer. Les deux frères aiment parfois regarder ceux dont Lundi détient cheveux et objets, depuis les eaux stagnantes. C'est un peu comme un spectacle privé.

Lundi aime ses frères, mais trouve qu'il est relié à la Toile encore un peu plus de par leurs cheveux blancs et leurs peaux contrastées. De plus, il trouve que Mardi est très doué avec ses Vévés, peut-être qu'il devrait lui en demander un pour gérer les humeurs. Peut-être. Mais Lundi se plaît dans sa foudre. Il en discutera en cas de besoin.

En ce qui concerne l'accident, Lundi n'a jamais changé d'attitude si ce n'est qu'il peut s'énerver bien plus vite qu'avant à un mot dit de travers à son frère. Ça l'agace, même sans savoir ce que Mardi ressent réellement à cette situation, ça l'énerve. Il suppose que ça doit manquer, que ça doit frustrer, c'est une liberté en moins. Lundi déteste ça.

Bien particulier, bien fourbe. Lundi n'a aucune confiance en ce petit frère. Et, même si cette règle est implicite, il ne veut pas que ses épouses fricotent avec sa fratrie et surtout pas Mercredi. Il veille bien à ce qu'aucun de ses coups de foudre n'ai eu un quelconque lien avec Ozzie. Strictement aucun. Malgré ça, il a tout de même le besoin que ce Guédé aux aiguilles soit respecté. Comme chacun des siens.

Il est juste un peu distant, comme avec Vendredi. Le Céleste ne se trouve pas beaucoup d'affinité avec celui-ci. Si ce n'est la maison close en commun.

Il aime tout de même Mercredi, il l'aimait tout de même. Sa disparition est un déséquilibre qui le brouille. C'est étrange, hein ? Un frère qu'il ne fréquentait que peu, mais cela devient un immense orage dans l'esprit maintenant qu'Ozzie n'est plus.

Blablabla.

Le petit dernier, il fait du souci aux frères. Lundi essaie de ne pas trop s'en mêler, à moins qu'on le lui demande. Il sait qu'il s'emporterait bien trop, qu'il ferait des montagnes de ce qui n'est rien. Alors il se contente d'observer de loin. Ça le démange, d'user de ses pouvoirs pour voir. Mais il ne le fera pas. Parce qu'épier, c'est briser une certaine confiance. Cependant, il en fait quand même les cent pas. Lundi espère que Vendredi ne se noie pas dans quoi que ce soit qui puisse devenir un problème. C'est qu'il est fuyard sur le sujet.

C'est tellement plus simple de faire crier la foudre. Et que si quelque chose venait à arriver, il saurait démonter le responsable. Puis il le ramènerait, ce serait une victime d'un meurtre de passion après tout.

Bref, Mardi, garde l'oeil sur Vendredi. Il les sait proches, donc, mieux vaut que ce soit la Toile qui s'occupe de la Canaille.
Lundi n'arrive pas à se réveiller assez vite, et s'il l'est... il en ferait trop.

1ere Epouse
L'Oracle est si jolie avec ses zébrures dorées, même si Lundi s'en veut parfois de les avoir tracées sur sa première aimée. Lorsqu'il n'avait que 10 ans, il avait déjà senti la foudre s'abattre pour la jolie adolescente plus âgée que lui. Evidemment, il a été rejeté et ne l'a pas bien pris. Au point de foudroyer. Heureusement, la mort n'avait pas été présente. Ce ne sera qu'après une dizaine d'années après, alors que l'amour de Lundi pour Zélia ne s'était pas terni, qu'il a pu revenir vers elle et lui passer cette fois la bague au doigt.

Sa première épouse était tout pour lui, elle l'est toujours. Probablement au même titre que les autres, mais il y avait cette chose en plus : ils avaient vécus un moment seuls, fusionnels, et le guédé n'était pas passé à autre chose après le refus de sa première flamme déclarée. Le Céleste ne peut pas expliquer pourquoi sa passion ne s'en était pas allée, pourquoi est-ce qu'il n'a pas simplement détourné le regard.

Zélia était stérile, une raison peut-être pour Lundi de commencer à s'amouracher pour d'autres femmes, mais sans jamais se détacher de l'Oracle. Oracle et Orage, ces mots étaient bien trop proches pour passer à autre chose. Klere s'en veut parfois aussi lorsqu'il sent sa femme sursauter à ses violences explosives, pourtant il se veut le plus doux avec elle.
À ce jour, depuis leur arrivée sur l'Île, la première épouse a pu enfanter des jumelles dont le Baron est très fier.

Lundi essaie de ne pas faire approcher par surprise sa femme, mais lorsqu'elle ne le remarque pas... elle prend peur et le frappe. Rien de bien grave, ce ne sont pas ces poings-là qui feraient du mal à un guédé. Celui-ci s'en amuse. Et puis, il pense qu'elle en a le droit. Il l'a foudroyée, et il la fait parfois tressailler par la colère qu'il ne peut pas contenir. Il est rassuré de la voir toujours à ses côtés, il aime quand elle lui tresse les cheveux, il aime simplement qu'elle soit.

Epouse
Ainhoa, ou Noa, est si ensorcelante. Il y a longtemps, elle avait essayé d'user de sa potion pour séduire le Baron Lundi. Ça n'avait pas fonctionné, mais cela avait suffi à déjà attirer son attention sur elle. Klere a peut-être été charmé par cette tentative courageuse, après tout... il peut se montrer si violent lorsque la colère lui monte à la tête. Mais voilà, la Bohémienne a su jouer de ses charmes pour attirer la foudre. Lundi l'aime sincèrement, il n'a pas pu laisser vivre le père qui avait osé marquer la fille devenue l'épouse du Céleste. C'était impossible. Le zombi délaissé dans une sorte de sous-sol morbide, Lundi ne s'en occupe pas. C'est quelque chose à Ainhoa, elle en fait ce qu'elle voudra. Le Céleste se contente de lui refuser le repos.

Le Baron Lundi aime voir sa femme danser, il aime la voir les cheveux libérés, il adore les tatouages d'henné qu'elle se dessine. Il est rassuré de n'y voir aucune marque cachée. Il a confiance en elle, et la sait aussi engagée que lui pour leur famille. Le Céleste aime la voir briller, mais il pourrait être un peu jaloux si elle danse alors qu'il n'est pas là.

Seule ombre, les morts-nés, jamais Lundi ne se soucie du fait qu'il ne puisse pas avoir d'enfant de la Bohémienne. Si cela ne peine pas trop sa troisième épouse, alors qu'il en soit ainsi. Cependant, un mot de travers concernant le passé effacé ou ce détail de matrice... la foudre pourrait vous griller sur place.

Lundi sait que sa femme est capable de se débrouiller, elle n'est pas une fleur fragile. Cependant, il en reste protecteur. Peut-être à cause de ce qui a bien pu se passer avant leur mariage. Et lorsque Noah s'en va, le Céleste ne peut s'empêcher de vérifier que les sirènes ne l'attaquent pas. Il attendra, avant d'user des yeux du ciel.

Epouse
Ailin n'est arrivée à lui que depuis la Pluie, par le chemin dans les Bermudes. Si la première fois, Lundi s'était un peu moqué d'elle et avait joué à des questions-réponses... la fois d'après il ne l'avait pas reconnue. Les circonstances avaient fait que les apparences avaient bien changées. Le Céleste l'avait rencontrée dans le casino, entre quelques parties. Après avoir été bien énervé par essence de mauvais joueur. Il la trouvait intéressante, peut-être parce qu'elle lui proposer d'apprendre à user correctement des cartes. Une bien lourde quête, mais à force, le Baron s'était plutôt intéressé à cette Ailin. Et ainsi de suite, dans un jeu de chat et de souris et de coup de foudre, il avait pu faire d'elle son épouse.

Il n'y a pas de secret avec elle, Lundi sait très bien que c'était elle qu'il avait rencontré un jour sur la plage. Il sait très bien que son âme ne porte pas la chair qu'elle aurait dû avoir. Mais voilà, la foudre ne se trompe pas. L'amour de Klere est là, le reste ne l'affecte pas le moins du monde. Lundi veille à ce que le secret de son épouse ne soit pas divulgué sans l'accord de la concernée. Il la couvre comme les autres de présents et d'amour, et aime la complicité qu'elle a développer avec Ainhoa. Il aime son Ivoire précieuse, sur tout les plans.

Elle ne pourra jamais porter ses enfants, mais ce n'est pas grave pour lui du moins. Ce n'est pas plus mal, elle risque moins de mourir que les autres.

Lundi est intrigué par cette femme exotique, et apprécie quand elle use de mots d'ailleurs. Il est curieux de cette face du monde qu'il ne connaît pas. Il essaie d'avoir des histoires de cet univers-là lorsqu'il n'est qu'avec elle.

Epouse
Une épouse rencontrée à peine le givre terminé. Carolina est habitée par la pluie, ainsi que par la déchirure d'une mère séparée de son enfant resté dans le monde ordinaire. Alors, Lundi la laisse entrevoir quelques instant l'image de ce petit garçon ailleurs. Malgré cette cicatrice, le Céleste aime deviner que la pluie de Carolina s'est un peu réchauffée et ressemble plus à celles qu'il adore tant.

Le baron d'orage aime éperdument son épouse, tout comme les autres.

Lorsqu'elle cuisine, le Céleste aime se glisser dans la pièce discrètement. Pour la voir danser en mélangeant les épices, jusqu'à ce qu'elle le remarque.

Il n'aime pas être loin d'elle si il sent la tristesse grandir en elle.

Elle lui a donné des jumeaux, Novembre et Décembre.

Blablabla.

Blablabla.

Blablabla.

Epouse éteinte
Elle était belle et libre, elle avait juste bu la liberté qu'elle avait. Tamara brillait même au-delà du Bayou, elle s'amusait d'un homme du Port. Lundi évidemment la laissait flamboyer, jamais il ne pouvait se résoudre à l'enchainer. Lorsque le ventre de Tamara s'était arrondi, elle avait douté, elle avait pensé qu'elle allait probablement offrir sa vie pour un enfant de son époux. Mais voilà, le sang n'avait pas la moitié du Guédé.

L'enfant s'appelle Marianne, voilà le dernier lien restant de Tamara.

Epouse éteinte
Seconde épouse, juste après Zélia. Mère de l'aîné-e des enfants de Lundi : Janvier.
Le Baron l'a foudroyée pour avoir tenté de le quitter en emportant leur enfant.

Blablabla.

Son enfant aîné, enfant de la seconde épouse Tissia. Lundi a été très heureux lors de sa naissance, puis malheureusement... Lorsqu'il foudroya Tissia, Janvier a subi aussi la foudre. Depuis, les liens sont compliqués. Mais ils évoluent. De la peur à la colère, puis de la colère à peut-être plus de tolérance. Le Baron a eu bien peur d'avoir encore blessé le Sel lorsque celui-ci lui avait un jour tenu tête jusqu'à ce que la foudre doivent tomber. Heureusement que Zélia a été là pour lae tirer au bon moment. Malgré la douleur qu'engendre le feu des cieux à Janvier, au moins iel est en vie. Puis, ce besoin de n'être ni homme ni femme, il a fallu effacer des années d'habitudes pour y placer les bonnes mais le Guédé n'a jamais cherché à remettre en question la Nature de Janvier. Si Janvier le veut, alors la famille et le Bayou suivra. Lundi y veille.

À ce jour, le Céleste use toujours de la foudre, mais grâce à Samedi Janvier peut se mettre à l'abris et ne pas être atteint-e par les mots.

Les liens sont moins tumultueux, mais encore tremblants. Pourtant, lentement, les nuages sombres semblent s'écarter un peu. Lundi ne force jamais sa présence à Janvier, mais ne l'ignore pas le moins du monde. Il est heureux qu'iel ait pu s'attacher à Ainhoa, ou encore à Zélia et Ailin. De même pour son lien avec Kaplata.

Lentement, Klere essaie de refaire les liens sacrés qu'il a brisés en oubliant que ceux de Tissia étaient aussi reliés à Janvier.

Blablabla.

Blablabla.

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Blablabla.

Blablabla.

[à venir]

[à venir]

Blablabla.

Blablabla.

[à venir]

Blablabla.

Elle est tolérée, elle n'est pas fille d'une traîtresse, juste fille d'une épouse qui avait joué avec un pirate. Jusque là, Lundi n'y voit pas de problème. Sauf que de part cette histoire, sa femme est morte pour laisser vivre l'enfant d'une aventure. Voilà probablement d'où vient ce petit côté salé que le Baron éprouve envers Marianne. Elle n'est pas de lui, mais elle est d'une moitié à lui. L'épouse trépassée. Les frères et la mère savent, mais le Céleste reste un peu amer et épineux à ce sujet.

Blablabla.

Blablabla.

Blablabla.

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Blablabla.

Lundi l'a rencontré en pensant qu'il s'agissait d'une humaine, il l'avait vu par les yeux du ciel. Mais voilà, il s'était trompé. Il en était tombé amoureux, mais se rendant compte de son erreur il fit en sorte de vite se détacher de cette fée. Depuis, il garde pour elle ou lui, une affection amicale. Appréciant ses couleurs et surtout son talent capillaire, le Baron est plutôt fier de parfois pouvoir porter une coiffure réalisée par des mains aux service de la Reine Mab.

Blablabla.

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